La Préparation physique :
- Les cavaliers doivent être des athlètes. La dimension physique est un axe capital pour le haut niveau. Un travail spécifique doit être établi pour développer : la souplesse, la coordination et la tonification du dos et de la ceinture abdominale, point faible chez le cavalier.
Chaque semaine un préparateur physique, viendra faire travailler les cavaliers au sein de la salle de sports de la Cité Scolaire André Maurois. Un travail de préparation mais aussi de récupération après les weekends de compétition. La qualité de cette préparation physique permettra aux cavaliers de prévenir les blessures mais aussi d’intégrer dans leur démarche globale des notions capitales telles que l’importance de l’échauffement, des étirements avant de monter à cheval, sans oublier la récupération active post compétition.
Le Suivi médico sportif :
- Chaque lundi qui suivra un weekend de compétition, les enfants feront un check-up chez l’infirmière de la Cité Scolaire avec la possibilité de voir un médecin du sport en cas de souci physique. Pour les enfants présentant certaines pathologies dorsales ou autres, des séances chez le kiné ou l’ostéopathe pourront être organisées.
La préparation mentale :
- La réussite d’un athlète passe également par sa capacité à maintenir son efficacité en compétition sans subir l’influence du mauvais stress. Le talent, la technique et l’expérience sont des atouts capitaux mais insuffisants si le sportif ne parvient pas à gérer ses émotions en compétition.
• Chaque lundi qui suivra un weekend de compétition un travail sera effectué par la préparatrice mentale sur la confiance en soi, le relâchement et la concentration avec un débriefing à la clé des sensations ressentis par le cavalier durant sa dernière compétition.
Les cours de média training et d’anglais équin :
- Tout au long de l’année scolaire les élèves apprendront à maîtriser tous les tous les outils de communication : télévision, radio, interviews presse écrite… A adopter le bon comportement, la bonne posture. Les médias sont incontournables dans toute bonne stratégie de communication mais il n’est pas toujours naturel de s’exprimer avec aisance devant un micro, une caméra ou un auditoire d’en dire suffisamment mais pas trop, éviter les pièges et les erreurs commises par manque de pratique.
- Tout athlète souhaitant évoluer au plus haut niveau doit parler anglais. L’accent sera donc mis à l’Académie sur la maîtrise de cette langue et des termes équins. Le milieu du sport est aujourd’hui un monde international sans frontières. Connaître l’anglais langue universelle est donc un minimum pour pouvoir échanger avec ses concurrents, les sponsors, les propriétaires, les officiels de compétitions, les chefs de piste, les journalistes… Parler anglais permet de dépasser le cadre des cavaliers franco-français, de s’enrichir à travers de nouvelles rencontres.
- Communiquer, se simplifier le quotidien à l’étranger, mais aussi maîtriser son image publique, trois paramètres capitaux pour un sportif de haut niveau.